Enfant de la ville, Grand Corps Malade, La ville a ses bons côtés

Nous allons vous parler de la chanson Enfant de la ville écrite et interprétée par Grand Corps Malade, en 2008. Il y décrit son enfance dans la ville et nous montre que celle-ci a ses bon côtés. C’est pourquoi, nous avons choisi ce sous-titre. Enfant de la ville n’est pas seulement un chanson, c’est aussi le titre de cet album enregistré au studio Twin. 

Nous trouvons que la voix grave de Grand Corps Malade, en raison de sa trachéotomie, donne un côté mélancolique à la chanson. En effet, par ses paroles « Si la campagne est côté face, je suis un produit du côté pile. Là où les apparts s’empilent, je suis enfant de la ville .», il nous transmet et fait ressentir toute la passion qu’il éprouve pour la ville. Cette passion, les chanteurs urbains l’expriment par le Slam et le Hip-hop qui sont des musiques urbaines. Nous pouvons aussi y ajouter le Rap. Quand nous nous intéressons à la musique, son côté rythmé et répétitif exprime selon nous un ostinato. Nous pouvons ressentir la contradiction que le chanteur a entre son besoin de verdure à la campagne ou d’air à la mer et son envie vitale de revenir vers la ville, là où il se sent libre comme l‘air. Même lorsqu ‘il voyage aux États-Unis, son besoin de grandes villes comme New-York se fait sentir. 

Pour la partie instrumentale, nous trouvons plusieurs ruptures c’est-à-dire des changements de rythmes brusques. Nous trouvons une évolution à savoir un changement progressif de la musique. Au début, nous entendons une introduction. Cette chanson est sous forme de couplet/refrain. La liste d’instruments est vraiment longue. Cependant, les trois instruments principaux sont le violon, la guitare et la batterie. 

Pour conclure, nous trouvons que cette chanson de type slam est à caractère mélancolique, rythmique et répétitif. Pour faire allusion à cette œuvre, nous avons pensé à la chanson « La pluie de Orelsan et Stromae » qui parle également du bien-être chez soi en l’occurrence la ville de Caen dont Orelsan est originaire.

Et vous vous préférez la ville ou la campagne ?

LG, ML, Collège Saint Michel, Saint Aubin d’Aubigné

Enfant de la ville de Grand Corps Malade

Et vous, vous préférez la ville ou la campagne ?

Enfant de la ville est un slam écrit et interprété par Grand Corps Malade en 2008.

Au début, la chanson parle des cotés positifs de la vie à la campagne, à la mer de la nature mais très rapidement Grand Corps  ré-enchaîne sur la ville, qu’il ne se sent bien que dans la ville, le bruit des klaxons, l’odeur de l’essence… Dans toute la chanson, il explique son amour pour la ville.

La chanson est rude, brute dans ses paroles et dans son rythme avec l’accompagnement instrumental saccadé. Elle apporte de la tristesse mais quand le violon arrive dans l’accompagnement instrumental elle devient plus joyeuse. Le refrain donne l’impression de plus d’énergie grâce au contre chant du violon. L’accompagnement instrumental est composé de guitare électrique et acoustique, de percussion et de violon. Il est mélodieux et s’accorde parfaitement avec la voix grave de Grand Corps Malade. Sa voix grave nous rappelle son accident; et son opération : la trachéotomie.

La chanson commence par de la guitare seule. Ensuite, on entend au couplet 1 et 2, un changement de l’accompagnement instrumental avec l’ajout des percussion à la guitare. Puis, au refrain on entend un contre chant au violon.

Dans les paroles de la chanson Grand Corps Malade fait des éloges sur la ville tout en respectant les enfants de la campagne mais il se définit comme un enfant de la ville. Il explique se qu’il aime dans la ville et pourquoi il l’aime : moment de nostalgie avec ses souvenirs d’enfance.Il se sent bien même dans les plus grande ville.

Nous trouvons que cette chanson est triste mais qu’il y a plus de rythme au refrain. 

Grand Corps Malade est aussi un scénariste et un réalisateur. Il a fait le scénario et la réalisation du film «La Vie Scolaire» avec Mehdi Idir, sortie le 28 août.

Va t-il réussir à vous faire aimer la ville ?

FB et LL, collège Saint Michel, Saint Aubin d’Aubigné

Enfant de la ville – Grand Corps Malade

Un texte parlant de ses origines, à la campagne.

Enfant de la ville, chanson et titre de son deuxième album est parue en 2008, crée et chantée par Grand Corps Malade, celle ci raconte les biens fait de la campagne/nature et les compares à sa vie de citadin qu’il dit appartenir à cet « univers ».  

Tout d’abord, lorsqu’il parle cela donne une impression de puissance liée à sa voix très grave. Il faut noter qu’il a subi une trachéotomie ce qui rend sa voix plus grave. Les instruments composés d’une guitare, d’une batterie et d’un violon, accompagnent bien la musique, ce qui adoucit la chanson par rapport à la voix (basse) de GCM. Malheureusement cette musique ne nous plaît pas à cause du style de cette chanson qui est le slam. De plus, cette chanson à un rythme mou et les paroles ne sont pas chantées, ce qui ne nous donne pas envie de danser, ni envie de l’écouter. En revanche, les paroles peuvent donner de l’émotion, elles montrent aussi que même si Grand Corps Malade préfère la ville, qu’il y est plus à l’aise, il a de l’estime pour la nature, qu’il la respecte quand même. 

Pour conclure, la chanson nous déplaît et ne nous donne pas envie de l’écouter, peut être lié à la date de sortie (il y a 12 ans), peut être que si nous avions grandi dans ces années là, nous l’aurions aimée. 

E.R., A.M., Collège Saint Michel, Saint Aubin d’Aubigné

Album Enfant de la ville – Grand Corps Malade 

« Enfant de la ville » par Grand corps Malade en 2002

« Je dis pas que le béton c’est beau, je dis que le béton c’est brut. » Le béton est brut comme le slam de Grand Corps Malade quand il évoque la ville.

Dans la chanson « Enfant de la ville », il nous fait ressentir son lien sensuel avec la ville, notamment en évoquant son côté charnel avec l’urbanisme où il a grandi ; il fait notamment allusion à la vue, l’ouïe, l’odorat et le toucher. En effet, on peut lire « Nouvelles couleurs, nouvelles odeurs, ça rend les sens euphoriques ». Le début de la chanson est mélancolique mais évolue : des instruments se rajoutent (guitare, batterie, violon) et ils apportent plus de rythme, de dynamisme et d’énergie à son slam. Grand Corps Malade utilise aussi un registre familier « Se barrer à la mer » ou encore « l’écolo reloue à 4 centimes » ce qui apporte un côté assez « cash ». Mais il utilise aussi un registre poétique comme « Je trempe ma plume dans l’asphalte ».

Cette chanson est un mélange surprenant mais réussi.

C, E, M, Collège Saint Michel, Saint Aubin d’Aubigné

Dimanche soir, Grand Corps Malade

La chanson que nous avons étudiée s’intitule Dimanche Soir ; elle est écrite et interprétée par Grand Corps Malade qui fait une déclaration d’amour à sa femme.

Ce que nous avons apprécié :

Les paroles sont émouvantes car on ressent ce que le chanteur vit : « Parfois elle aime mes mots mais cette fois c’est elle que mes mots aiment » ; « Et moi je sais que mes deux mains ne se lasseront jamais de ta peau ».

De plus, le chanteur ne chante pas trop vite ce qui nous permet de comprendre les paroles.

Nous avons aussi aimé l’instrumentation c’est à dire la guitare acoustique et les sons électroniques car ils adoucissent la voix du chanteur qui est grave et mettent le texte en valeur.

Ce que nous avons moyennement apprécié :

La chanson n’est pas très dynamique elle est même plutôt monotone. Puis le ton de la voix du chanteur ne change pas trop.

Finalement la chanson nous a plu, le chanteur a bien su accorder le texte avec les instruments et la voix.

Lena, Antonia, Lisa, Collège Saint Michel, Saint Aubin d’Aubigné (35)

«Think» Aretha Franklin (1968)

Une voix puissante, une femme déterminée


«Think» est une chanson interprétée par Aretha Franklin, chanteuse de gospel, rythm and blues* (R&B), soul, funk et jazz, écrite avec l’aide de Ted White (de son vrai nom; Théodore Richard White), en 1968.

«Think» est une chanson portant un message pour les femmes ayant été victimes de violences conjugales. Cette chanson exprime la liberté et l’indépendance des femmes. Durant un passage de sa vie, la chanteuse elle-même avais été soumise à de la violence de son premier mari, son ancien manager, Ted White. 

Les paroles de la chanson reflètent parfaitement le vécu de la chanteuse, ainsi que son ressenti sur ce moment de son passé.

Cette chanson parle d’un thème délicat et révoltant, mais ce n’est pas pour autant qu’Aretha Franklin doit préserver sa voix puissante et pleine d’énergie, au contraire ; la musique est joyeuse, entraînante, dynamique, rythmique et puissante. La voix et les cuivres (instruments à vent) attaquent d’entrée en compagnie de la batterie (percussions) et du piano (instrument à cordes) pour garder l’intensité forte du style R&B, et des influences de jazz, gospel et blues. La chanson est entraînante durant tout le long, ce qui rend de bonne humeur. 

Notre opinion sur cette chanson est positif car nous aimons cette originalité de parler d’un sujet sensible en étant positif, comme si on en riait, malgré que nous trouvons dommage le fait que de notre point de vue les couplets sont difficiles à discerner à cause du caractère toujours dynamique de la chanson, et que ce soit un peu répétitif.

Si vous avez aimé «Think», découvrez «Respect» pour toujours garder la bonne humeur !

*Style musical qui bouge, créé avant tout pour faire danser.

Camille et Kiara-Luna, Collège Saint Michel, Saint Aubin d’Aubigné (35)

« Comme ils disent » Charles AZNAVOUR

https://www.youtube.com/watch?v=yILg7NTUfCQ (cliquer sur le lien pour écouter)

« Comme ils disent », pourquoi ce nom ?

« Comme ils disent » de Charles AZNAVOUR est paru en 1972 et est un célèbre morceau de variété française composé de strophes. Il aborde le sujet de l’homosexualité très tabou à l’époque.

Tout d’abord, il nous semble révoltant et triste de savoir qu’à l’époque les personnes homosexuelles étaient mal vues et honteuses.

Ensuite, l’accompagnement par l’orchestre symphonique renforce le caractère triste de l’œuvre, ce qui permet pour nous de comprendre encore mieux le sens des paroles.

Cependant, la musique n’est pas très dynamique, elle reste sur les mêmes nuances.

De plus, certains passages du texte sont parfois subtils à comprendre comme « Je suis un homme, oh ! Comme ils disent ».

Pour terminer, il utilise des sous-entendus comme « Moi, les lazzis, les quolibets Me laissent froid, puisque c’est vrai Je suis un homme, oh ! » qui nous protège des insultes et des blagues homophobes.

Il a abordé un sujet sensible pour l’époque et qu’il l’est toujours, tout comme « une femme avec une femme » de Mecano. Charles AZNAVOUR a produit un superbe morceau qui peut faire changer les mentalités et qui reste indémodable.

Et vous, qu’en pensez-vous après l’avoir écouté ?

Charles Aznavour 1924-2018

Arthur et Mathis, Collège Saint Michel, Saint Aubin d’Aubigné (35)

Dangerously de Charlie Puth

DANGEROUSLY/DANGEREUSEMENT

de Charlie PUTH

Charles PUTH, appelé Charlie PUTH est un chanteur, musicien, compositeur et producteur américain, né le 2 décembre 1991 à Rumson. Il a écrit 3 albums dont Nine Track Mind, un album dont la plupart des chansons parlent d’amour. Le titre de l’album veut dire en français “ Neuf pistes esprit “. L’album est sorti en 2016 et a connu un franc succès.

La musique est très rythmée et on entend un changement de mélodie quand le chanteur commence à chanter, quand le refrain commence et à sa fin. Au début, la mélodie est très douce et pendant les refrains, les instruments sont “forte.” Ensuite ils sont “mezo-forte”.

La mélodie est assez douce au début mais pendant les refrains elle devient presque agressive, comme un reproche.

J’ai choisi cette chanson car, pour moi, cette chanson correspond au mot AMOUR. Elle “parle” d’une relation passée, finie, qui ne peut plus recommencer. Il lui a tout donné pendant leur relation, il a décidé de l’arrêter pour ne pas faire plus de dégâts. Cette relation lui faisait plus de mal qu’autre chose et cela ne servait à rien de la poursuivre. Il l’aimait mais elle ne l’aimait pas de la même façon.

You’ve awoken me

Tu m’as réveillé

But you’re choking me

Mais tu m’étouffes

 

Elle lui fait du mal dans les moments les plus normaux de la vie qui sont aussi les plus simples. Elle a réveillé quelque chose chez lui mais elle ne l’aime pas. Elle fait semblant et elle ne sait pas que cette situation lui fait mal.

 

I loved you dangerously

Je t’ai aimée dangereusement

More than the air that I breathed

Plus que l’air que j’ai respiré

Il l’aime plus que tout jusqu’à même pouvoir arrêter de vivre pour elle. Elle est son tout mais pour elle, c’est différent.

 

Knew we would crash at the speed that we were going

Je savais qu’on s’écraserait à la vitesse où on allait

Il sait que cela va arriver mais il ne veut pas y penser, il souhaite tout tenter pour la garder proche de lui. Il s’en fiche si ça lui fait mal, il l’aime et c’est tout ce qui compte pour lui.

C’est une chanson sortie récemment qui a connu un beau succès commercial.

Les paroles décrivent une relation qui n’a pas fonctionné car les deux “amoureux” ne s’aiment pas de la même façon. Lui l’aime trop donc il fait beaucoup de compromis pour qu’elle soit heureuse et elle en profite. Il finit par mettre fin à cette relation quand il a enfin compris même si cela lui fait mal. Il souffre encore car il n’arrive pas à l’oublier. Il a tout fait pour préserver ce qu’ils avaient même s’il souffrait, rien n’était mieux pour lui,  qu’elle…

https://www.youtube.com/watch?v=TBXQu8ORnBQ

Margaux, élève de 4e, collège de Plab.

La vie en rose…

 

Moi aussi je vois la vie en rose…

La vie en rose , ( cliquer pour écouter la chanson)  chanson d’ Edith Piaf, chanteuse des années 1940 qui a écrit de nombreux titres connus comme Mon Légionnaire  ou  Non, je ne regrette rien…,  reste la chanson qui exprime le mieux les effets agréables de l’amour sur une personne. Edith Piaf a interprété cette chanson pour son défunt mari.

Tout d’abord je la trouve  touchante et pleine d’émotion. Elle contient  toutes les sensations et émotions que l’on vit lorsque l’on est amoureux :   

Quand il me prend dans ses bras

Il me parle tout bas

Je vois la vie en rose

Et dès que je l’aperçois

Alors je sens en moi

Mon cœur qui bat

Edith Piaf a su interpréter ce texte avec sa voix de soprano d’une grande sensibilité.  

De plus la musique est magnifique et s’accorde parfaitement avec le thème de l’amour. Elle a un tempo lent et le style musical est mélancolique…

Enfin cette chanson est ancienne et pourtant elle reste intemporelle par l’émotion qu’elle dégage.

Grâce à cette chanson moi aussi je vois la vie en rose…

                

                           Eve-Anne, élève de 4e, collège de Plab.

« Tchikito », reprise de Jul par Minosay : stop à l’autotune ! 

« Stop à l’autotune » : on ne passera pas une soirée à l’écouter !

Cette reprise de Jul est tout sauf agréable à écouter. La chanteuse a changé les paroles, et c’est pire que la vraie…
Elle est vulgaire et sa voix est tunée, elle part trop dans les aigus. Le tempo laisse lui aussi à désirer, enfin bref à ne surtout pas liker.

Originale: https://m.youtube.com/watch?v=qmtWgkxMlRw

Reprise: https://m.youtube.com/watch?v=6KyLlAcRGg4

JL, LB, CG, LT, ER, FC, Collège Saint-Joseph de PLOUDALMEZEAU.